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Expliqué : loi anti-défection, pour les législateurs indépendants

La dixième annexe de la Constitution précise les circonstances dans lesquelles le changement de parti politique par les législateurs invite à une action en vertu de la loi. Cela inclut les situations dans lesquelles un député indépendant rejoint également un parti après l'élection.

Jignesh Mevani avec Rahul Gandhi au siège de l'AICC à New Delhi. (Source : AICC)

Jignesh Mewani, un député indépendant du Gujarat, a déclaré qu'il avait rejoint le Congrès dans l'esprit car il ne pouvait pas le faire formellement, ayant été élu en tant qu'indépendant.





La dixième annexe de la Constitution, connue sous le nom de loi anti-défection, précise les circonstances dans lesquelles le changement de parti politique par les législateurs invite à une action en vertu de la loi. Cela inclut les situations dans lesquelles un député indépendant rejoint également un parti après l'élection.

Les 3 scénarios



La loi couvre trois scénarios en ce qui concerne le changement de parti politique par un député ou un député. Le premier est lorsqu'un député élu sur la liste d'un parti politique renonce volontairement à l'adhésion à un tel parti ou vote à la Chambre contre la volonté du parti. La seconde est lorsqu'un législateur qui a remporté son siège en tant que candidat indépendant adhère à un parti politique après l'élection.

Dans ces deux cas, le législateur perd le siège à la législature en changeant (ou en rejoignant) un parti.




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Le troisième scénario concerne les députés nommés. Dans leur cas, la loi leur donne six mois pour adhérer à un parti politique, après avoir été nommés. S'ils adhèrent à un parti après ce délai, ils risquent de perdre leur siège à la Chambre.

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Couverture des indépendants

En 1969, un comité présidé par le ministre de l'Intérieur Y B Chavan a examiné la question de la défection. Il a observé qu'après les élections générales de 1967, les défections ont changé la scène politique en Inde : 176 des 376 législateurs indépendants ont ensuite rejoint un parti politique. Cependant, le comité n'a recommandé aucune action contre les législateurs indépendants. Un membre n'était pas d'accord avec le comité sur la question des indépendants et voulait qu'ils soient disqualifiés s'ils rejoignaient un parti politique.



En l'absence d'une recommandation sur cette question par le comité Chavan, les premières tentatives de création de la loi anti-défection (1969, 1973) ne couvraient pas les législateurs indépendants adhérant à des partis politiques. La prochaine tentative législative, en 1978, a permis aux législateurs indépendants et nommés d'adhérer une fois à un parti politique. Mais lorsque la Constitution a été amendée en 1985, les législateurs indépendants ont été empêchés d'adhérer à un parti politique et les législateurs nommés ont eu un délai de six mois.

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Disqualification



En vertu de la loi anti-défection, le pouvoir de décider de la récusation d'un député ou d'un député appartient au président de la législature. La loi ne précise pas de délai dans lequel une telle décision doit être prise.

En conséquence, les présidents des assemblées législatives ont parfois agi très rapidement ou ont retardé la décision pendant des années – et ont été accusés de parti pris politique dans les deux situations. L'année dernière, la Cour suprême a observé que les affaires anti-défection devraient être tranchées par les présidents dans trois mois.



Au Bengale occidental, une requête en disqualification contre Mukul Roy, député du BJP maintenant de retour au Congrès de Trinamool, est en instance auprès du président de l'Assemblée depuis le 17 juin. Mardi, la Haute Cour de Calcutta a renvoyé à l'ordonnance de la Cour suprême, a observé que les trois mois est maintenant écoulé et a demandé au Président de se prononcer sur la pétition contre Roy d'ici le 7 octobre.

Chakshu Roy est responsable de la sensibilisation à PRS Legislative Research

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